26/5/08

Froide sensation

J’écoute la vie crier
D’avoir un souffle de mouvement
Une situation si bien difficile
De n’avoir pas le tout pouvoir
L’espace de mon quart, est si vide que je me perds
Ce n’est pas ce que je pense
Ce seulement ma insistance

Je regarde le visage du désespoir
D’être témoin du assassinat
Mon frère est mort dans mon bras
Après un discussion sans importance
Ce l’amour ou ce la haine
On ne peut pas les séparer
Le fait est déjà fait dans ce moment

Je sens la puanteur du corps
Une sensation de incertitude
Imaginez le monde à l’envers
C’est surtout ce que je professe
Une justice aveugle comme dans les histoires
La prouve de mon innocence
Est perdu dans le même vide quart

Je touche l’air délicate de l’espérance
Est-ce que tu ne peux pas savoir ?
On est déjà dans le lieu de l’ignorance
Où on trouve de petites criminelles des rues sales
La sécurité n’est pas le meilleur partie du temps de l’avenir
La croyance sera la clé de la évasion
Pour finir la situation

Je savoure le café du matin
L’esprit tranquille dans le même vide quart
Où finalement je connais la dame du noir
Qui boit un peut de ma tasse
Elle n’a rien dit, car cette action est interdite
Mais j’espère que son silence
Sera le source de la confiance

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