Petit à petit commence ce sentiment absurde de noter que la réalité va contre nous-mêmes. J’ai participé dans une convocation pour aller en France et y travailler comme assistant de langue espagnole pendant quelques mois; et je remarque, ça étais la deuxième fois que j’ai été rejeté ! La première était un essai, une expérience nouvelle, de laquelle je n’ai été pas aussi même satisfait.
Le moment de succès a été quand j’étudiais le master, où j’ai pu obtenir une bourse de séjour de recherche. Pendant six mois j’ai profité de ce voyage, en apprenant et pratiquer des langues (français y compris bien sûr), visiter des lieux intéressants et comme même connaître des personnes fascinantes. J’ai vécu la vie quotidienne d’un étudiant à Paris.
À mon retour, j’ai pensé d’essayer de nouveau entrer dans la convocation. Il y avait 250 participants dont 150 étaient possibles d’envoyer comme assistants. Je pensais moi étais un bon candidat et je n’ai pas eu de la peur de perdre, les chances n’étaient pas contre moi. À mon avis, j’ai rempli des bonnes réponses dans l’interview et j’y me suis montré assuré.
Les résultats n’ont pas été surprenants, donc j’avais déjà traversé le procès. Et quand je suis allé à reprendre mon dossier j’ai demandé de savoir le pourquoi du dictamen. Ma surprise a été très étonnant quand je me suis rendu compte que pour eux, je n’ai pas eu le niveau suffisant de langue française pour avoir une conversation avec des natives, malgré j’ai vécu dans un environnent francophone pendant six mois après quatre ans d’études de la langue !
J’ai remarque que mon interviewer avais un niveau plus bas que le mien. Et pour lui j’ai n’ai pas l’attitude d’être assistant, de nouveau, malgré son chef et coordinatrice a pensé le contraire! Et finalement, il semble qu’être bénévole du cours d’été et donner des ateliers dans l’université et pour des élèves sourds n’est pas une expérience enseignante, bien si presque toutes mes courses étaient dirigées aux jeunes et mon travail comme assistant est mis au point aussi dans une population jeune.
Bon, voilà ma catharsis, ce pour ça que j’ai mon blog. Malgré tout, j’ai la fortune de voyager encore grâce à l’université, mais ces expériences montrent que notre système éducatif au Mexique est aveugle, avec une très mauvaise organisation et ne semble pas avoir une bonne définition des intérêts (malheureusement, quand ont parle de ce choses au Mexique, il semble redondant).
Le moment de succès a été quand j’étudiais le master, où j’ai pu obtenir une bourse de séjour de recherche. Pendant six mois j’ai profité de ce voyage, en apprenant et pratiquer des langues (français y compris bien sûr), visiter des lieux intéressants et comme même connaître des personnes fascinantes. J’ai vécu la vie quotidienne d’un étudiant à Paris.
À mon retour, j’ai pensé d’essayer de nouveau entrer dans la convocation. Il y avait 250 participants dont 150 étaient possibles d’envoyer comme assistants. Je pensais moi étais un bon candidat et je n’ai pas eu de la peur de perdre, les chances n’étaient pas contre moi. À mon avis, j’ai rempli des bonnes réponses dans l’interview et j’y me suis montré assuré.
Les résultats n’ont pas été surprenants, donc j’avais déjà traversé le procès. Et quand je suis allé à reprendre mon dossier j’ai demandé de savoir le pourquoi du dictamen. Ma surprise a été très étonnant quand je me suis rendu compte que pour eux, je n’ai pas eu le niveau suffisant de langue française pour avoir une conversation avec des natives, malgré j’ai vécu dans un environnent francophone pendant six mois après quatre ans d’études de la langue !
J’ai remarque que mon interviewer avais un niveau plus bas que le mien. Et pour lui j’ai n’ai pas l’attitude d’être assistant, de nouveau, malgré son chef et coordinatrice a pensé le contraire! Et finalement, il semble qu’être bénévole du cours d’été et donner des ateliers dans l’université et pour des élèves sourds n’est pas une expérience enseignante, bien si presque toutes mes courses étaient dirigées aux jeunes et mon travail comme assistant est mis au point aussi dans une population jeune.
Bon, voilà ma catharsis, ce pour ça que j’ai mon blog. Malgré tout, j’ai la fortune de voyager encore grâce à l’université, mais ces expériences montrent que notre système éducatif au Mexique est aveugle, avec une très mauvaise organisation et ne semble pas avoir une bonne définition des intérêts (malheureusement, quand ont parle de ce choses au Mexique, il semble redondant).
1 comentario:
Gracias por su comentario en mi blog!
Gxis revido!
Publicar un comentario